Ce midi sur BX1 j’ai participé à un débat avec Marianne Streel, de la FWA, et Etienne Duquenne, de La Ferme Nos Pilifs. L’accès à la terre est un enjeu important à Bruxelles, en Belgique et dans le monde. La Région Bruxelloise peut jouer un rôle pour pérenniser des projets existants ou protéger des terrains de la spéculation financière.
La crise du COVID-19 a clairement mis en évidence les faiblesses d’une chaine alimentaire qui nous échappe. Elle a pointé la nécessité de lancer un plan de résilience alimentaire pour notre pays.
Dans un tel plan, les villes ont également un rôle à jouer. En effet, en Belgique 56% de la population vit dans des régions urbaines qui couvrent 26% du territoire.
J’étais l’invitée de Fabrice Grosfilley dans l’interview de midi de BX1. L’occasion de commenter l’actualité et de me présenter ainsi que mes envies de développer une économie bruxelloise ancrée dans le territoire et circulaire et une démocratie participative au...
Et on continue de parler de l’ouverture du Parc du Palais Royal de Laeken, avec OpenLaeken.
« Une candidate écolo à la région y voit plus encore. Barbara de Radiguès voudrait y installer une ferme urbaine d’une superficie de 100 hectares. « Ça en ferait la plus grande ferme urbaine en Europe », s’enthousiasme la candidate. « Quand on est 1,2 million d’habitants en Région bruxelloise, je ne crois pas que c’est scandaleux de demander à la famille royale de partager ce domaine. Surtout si c’est pour un projet comme celui-ci. Une ferme urbaine c’est faire de la culture de manière professionnelle pour nourrir la ville ». » Extrait de l’article ci-dessous.